Evènement RP : Le Réveil du Mal

Le sous-directeur, Crafty, rentrait de son long voyage épuisé par les kilomètres parcourus sans monture. Voilà déjà deux semaine qu'il était parti voir sa famille. Il n'aurait pas pu rester une semaine de plus sans sa FAC. Il marchait donc à vive allure et était heureux de faire la surprise de rentrer plus tôt. Cependant depuis qu'il était à quelques centaines de mètre de la FAC, un silence pesant régnait dans cette profonde obcurité nocturne. Même la porte principale ne grinçait pas, comme à l'accoutumé.

Il alla donc voir son cher Dide qui devait encore être à travailler tard dans son bureau. Mais arrivé sur les lieux personne. Crafty passa donc à son bureau oùil découvrit un mot du directeur concernant les mort mystérieuse des élèves et un mot de neliasse expliquant que des intructeurs et des intervenants s'était lancé dans le gouffre.

"Ce n'est pas ce soir que je vais pouvoir me reposer. Il s'y sont lancé sans même réfléchir, et ce n'est pas la chance de Dide qui arrangera tout ça, bon commençons pas voir où est ce trou et y relever toutes les inscriptions"

Arrivé devant le mur de terre, "Avec ce trou dans le mur de terre nous empècherons pas les élèves de s'y jeter comme eux, je vais donc installer un mur d'air permanent par dessus le trou où l'air est si compressé l'air que rien n'y passera. Heureusement que Dide et moi avons gardez tous les livres et autres objets qui s'y trouvaient déjà dans la salle secrète. Mais avant dessinons ces symboles de sang pour pouvoir les reconnaitre lord de mes recherches."

Crafty n'était pas très bon en dessin, mais il faisaite de son mieux et il avait pas le temps de les faire avec soin et précision parfaite. Un fois fini il referma son livre et fini son invocation car la sauve garde des élèves était une priorité.

Il se dirigea ensuite le plus vite possible par les couloirs vers la bibliothèque manquant parfois de trébucher. Ouvrant la porte à la volé, il vit Dlord prendre un livre de l'étagère, surment l'avait il entendu dans le couloir.
_Tiens Dlord, tu étudies à cette heure si tardive ?
_Crafty tu es déjà ici, normalement tu devais rentrer après demain. Moi, je travail beaucoup pour avoir mon Diplôme
_Tu ne serai pas plutôt entrain de préparer quelque chose avec ton amis AlChimiK. Tiens d'ailleur, où est il ?
_Il n'est pas là mais au dortoir des garçons.
_Vous êtes inséparables alors je ne te crois pas parle parce que là on a déjà assez de problème.
_Il est allez à la bibilothèque secrête.
_Non, c'est pas possible il va se trompé car on l'a dissimuer par un éboulement l'autre chemin semble mené dans les entrailles de la terre mais nous ne l'avons jamais empruntés. Reste ici Dlord ou viens avec moi, c'est à toi de décider mais réfléchi vite car AlChimiK cours un grave danger et nous avons besoin d'information au plus vite.

Crafty laissa à Dlord quelques instant pour réfléchir à sa décision.

Après quelques heures de marches, le grunt atteignit enfin le fond de la cheminée.
Il faisait toujours aussi sombre en ces lieux, et la torche ne tarderait pas à s'essouffler.

Il lui restait trois potions dont deux pourraient servir de combustible pour la torche ;
Mais il aurait préféré les garder pour leur essence première...
Il manipulait donc la torche avec précaution pour ne pas qu'elle s'éteigne.

En bas, le diamètre de la salle était largement réduit.
Et les murs étaient amputés de sept boyaux légèrement moins sombres
que ce qu'il avait pu vivre jusqu'à présent.
Ils semblaient tous identiques,
et chacun d'entre eux dégageait une couleur spécifique.
Ces couleurs avaient certainement un sens...
Et ce sens devait également être traduit par ces textes sur les murs...
AlChimiK regarda attentivement ces écritures mais n'y comprenait toujours rien...

Il se rendit au milieu de la pièce et par inattention percuta une roche.
Le bloque était comme une table,
et dessus, des flèches gravées...
Une flèche orientée vers chacune des issues.
et au milieu, un mot composé de 7 lettres,
chacune des lettres étant attribuée à une flèche...

Ce mot ne semblait avoir aucun sens...

L'orque le regardait de plus près,
et remarqua que chaque signe était la première lettre des 7 races du Lorndor,
morts-vivants exclus...

Il aurait voulu suivre le chemin des Grunts,
hélas deux lettres presque identiques...
Certainement que l'une représentait sa race alors que l'autre était celle des Gnomes...

Il revint sur les murs pour y trouver un indice...
Il commençait alors à voir le sens de quelques mots,
reconnaissant les signes qui en fait représentaient chacune des créatures de ce monde.

Il put après un moment identifier la lettre des Grunts,
et décida de pénétrer le couloir d'où émanait la couleur verte,
celui que la flèche des orques indiquait...

Etrange impression que d'observer ...soi-même. Devant Helioss, se dressait...Hélioss. Ou plutôt une sorte de double. Déjà au premier regard, elle comprit que sa réplique n'était pas venue taper gentillement la causette, et possèdait exactement les mêmes forces, sauf le coeur, et l'âme.

L'adversaire ne perdit pas de temps. Sa chevelure devint turquoise profond, et ses yeux brillèrent d'un éclat céleste, signe d'utilisation de la magie. L'ennemi brandit sa main en avant, et une longue flamme ardente se jeta sur Hélioss. Immédiatement, l'elfe de la nuit créa un champ de force protecteur. Ses yeux et sa chevelure avait également pris une teinte turquoise. Le feu s'écrasa contre la protection. Le double revint avec ses lames, avec deux coups de taille. Phobos contre Deimos, et Deimos contre Phobos, les lames s'entrechoquèrent. Leurs forces étant égales, aucune ne réussit à repousser l'autre. Alors Hélioss cessa ce rapport de force, leva ses lames, et frappa d'estoc. Son coup fut à nouveau bloqué. La danse des lames mortelles continua encore. Lame contre lame, chaque coup fut bloqué. La vitesse, la force, l'esquive, tout y était des deux côtés.

Comment vaincre soi-même? Car si Hélioss avait appris des choses sur elle, c'est qu'elle était douée. Elle n'étais certes pas invincible, mais elle n'avait pas de point faible dominant. Non, elle était imprévisible. Ce combat allait durer longtemps. Chacune se battant pour survivre. L'issu de cet affrontement serait incertain. Hélioss ne pouvait compter que sur la chance.

Phobos ennemie, lui érafla la joue, bien que l'elfe se baissa pour esquiver, mais pas assez vite. Elle commençait à se fatiguer. Hélioss répliqua tout aussi vite, et réussit à entailler l'épaule de l'adversaire. Enchaînant avec la magie, elle fit sortir des lianes de la terre, qui s'enroulèrent autour du corps du double, à présent immobilisée. Mais cette dernière jetait un regard désinvolte, et ne cessait pas de se débattre. Hélioss ne risque pas de s'approchait, elle lança en l'air Deimos, et rattrapa l'arme par lame. Elle allait le lancer droit sur son ennemi. Comprenant ce qu'elle comptait faire, le double créa un tourbillon de flammes, le projetant sur Hélioss. L'elfe de la nuit dû lever ses mains et repousser le feu par le feu. Pendant ce temps, le clone, se libéra des sarments avec ses lames meurtrières, en quelques coups net.

Hélioss prépara un enfer de flammes sur son ennemi, qui riposta avec la même attaque. Les deux sorts de feu surpuissants se percutèrent de plein fouet. La température de la pièce prit une montée soudaine, atteignant les 60°, et plus de 300° dans le feu ardent des enfers brûlants. Les forces flamboyantes semblaient de forces égales, et les deux opposants tinrent le plus qu'ils pouvaient. Hélioss hurla de rage, et donna toute sa puissance, le clone faisant de même. Ainsi une supernova de flammes éclata dans la pièce qu'était ce kaleidoscope, aveuglant toute chose par son éclat lumineux intense.

Les deux mages se regardèrent. Aucun deux n’avait de blessure sérieuse. Mais les lucioles n’avaient pas cette chance. De l’autre coté de la pièce Dide voyait les lumières s’affaiblir. Les quatre lumières oscillaient dangereusement, mais apparemment, l’autre n’en avait rien à faire.
Dide n’en supporta pas davantage. Il se propulsa en fonçant vers son double. Celui ci se propulsa lui aussi. Juste avant de se rencontrer, la copie balança un éclair, que Dide évita invoquant une bourrasque pour dévier le monstre de sa trajectoire. Surpris ce clone ne pu éviter d’être plaqué contre un miroir, et le vent continua encore de s’acharner sur lui ne le laissant plus se déplacer.
Dide continuait quand à lui sur sa trajectoire. Il réussi à se poser sans trop de dommage sur le sol. Il commençait à s’habituer à cet étrange lieu. Il prit ses lucioles dans sa main et les soigna.
A peine eut il finit de prodiguer ses soins que Dide fut frapper d’un éclair. La copie avait réussi à se libérer de sa prison. Dide lâcha alors ses lucioles, et tomba à quatre pattes sous le choc du sort. Il fut frappé une deuxième fois, puis une troisième. L’elfe s’écroula sur la pierre froide. Abandonnant toute envie de lutter.

Le couloir n'en finissait pas.

Mais l'orque ne voulait plus abandonner.
Il en était presque devenu fou !
Il devait y avoir quelque chose au fond de ce boyau !

La flèche l'avait guidée !
Une lumière était apparue au loin,
Droit devant lui.
Puis disparut.

Elle apparaissait encore, disparaissait à nouveau...
Elle semblait toujours s'éloigner.
Et AlChimiK avançait, presque inconscient.

Le tuyau traînait désormais le grunt
qui sans même s'en être rendu compte
ne contrôlait plus sa volonté.

Et le tuyau commença à descendre...
Une légère pente au début, insignifiante, imperceptible.
Puis cette pente s'accentuait, l'entraînant toujours un peu plus vite dans son avancée.
Ces pas s'allongeaient ; Il était en train de plonger...

Toujours ces étincelles au loin qui l'attiraient.
Elles lui étaient familières.
La torche s'éteignit, et lui poursuivit comme si rien ne c'était passé.

Cette veine dans laquelle il s'était engouffré l'emmenait toujours plus vite.
Il commençait à déraper sur le sol,
d'un instant à l'autre, il glisserait dans une chute qu'il ne pourrait plus freiner...

Je sentais moi aussi la présence dans cette pièce. Le loup-garou que j’étais devenue allait frapper, d’un instant à l’autre cette chose qui était là, allait mourir. Une lumière monstrueuse apparue soudain dans la pièce une lumière rouge, macabre qui venait de partout et de nulle part en même temps, comme si elle venait de mon propre corps ou du corps de l’autre loup-garou qui était en face de moi maintenant. Je mis du temps à comprendre, mais maintenant je savais que ce loup en face de moi, c’était moi.

Impossible de distinguer les deux Lycans, identique en tout point, la force, la dextérité, la vitesse, et l’aparance.les deux gnomes mutants ce jetèrent l’un contre l’autre, les griffes acérés comme des lames de rasoir leur rentraient dans la peau. Les crocs tel des pieux se plantaient dans la chaire.
Le sang volait, et commençait à recouvrir le sol. Les deux Lycans menaient un combat acharné griffe contre griffe, gueule contre gueule. Des hurlements de rage stridents résonnaient dans la pièce.
Un des loups-garous fut projeté dans les miroirs, sans même prendre le temps de récupérer son souffle il se redressa et chargea de nouveau. Ses griffes venaient de transpercer son adversaire au niveau de l’estomac.le combat devenait fou, les coups s’enchaînaient l’un après les autres, les loups frappaient de toutes leurs rages, de toutes leurs folies. Un des Lycans fut projeté en l’air, et ce retrouva comme aspiré avant de retomber sur ses pattes au niveau du plafond.
Les deux loups se faisaient maintenant face, un dans chaque bout de la pièce, c’est-à-dire un en haut et un en bas. Chacuns regardaient l’autre, et chacuns voyaient son propre reflet. Tous les deux étaient aussi estropiés. Mais la rage diminuer dans les yeux de ces êtres maléfiques. La force commençait à leur manquer.

C ‘est à cet instant, sans aucun signe que je repris enfin mon apparence. La lumière n’était plus rouge, mais avait une couleur d’un blanc nacré. Juste le temps de lever la tête pour voir que mon clone avait lui aussi retrouver son apparence normale. Et les ténèbres avait reprit leur domaine………….

L'orque avait du mal à réaliser ce qui se passait.
Il pouvait voir au loin les éclairs dans le tunnel comme si celui-ci était droit ;
Et pourtant la gravité se déplaçait comme si le boyau s'incurvait vers le bas.

Il ne s'arrêtait pourtant pas.

Et les étincelles qui avaient été DEVANT lui se situaient désormais SOUS lui.
Ce n'était plus un tunnel mais un gouffre !
AlChimiK n'avançait plus, il chutait.

La lumière électrique se rapprochait à grande vitesse ;
Il n'en était plus très loin,
quand celle-ci cessa.

L'attraction sembla freiner le pouvoir qu'elle exerçait depuis des millénaires
sur toute créature ayant parcouru les chemins du Lorndor.
Le grunt ne chutait plus.
Il avait plutôt l'impression de planer.
Tout ceci était-il un rêve ?

Il ressentit une force supérieure pénétrer en son âme.
Il réalisa qu'elle l'avait suivi depuis qu'il avait quitté la salle-cheminée.
C'était elle, la responsable du ralentissement de la chute ;
Et certainement était-elle la cause commune de bien nombreux effets constatés ces derniers temps…

Elle était bien trop puissante pour qu'AlChimiK résiste.
Elle le déplaçait maintenant à sa guise,
et elle le porta jusqu'en bas du gouffre
où l'orque percuta le sol violemment
et perdit connaissance
avant même de réaliser que son chemin avait joint sa destination.

L’elfe s’écroula sur la pierre froide. Abandonnant toute envie de lutter. Il attendit la mort qui paraissait si douce. Mais elle ne venait pas. Qu’attendait ce monstre pour me finir. N’écoutant que sa curiosité légendaire, il se retourna. Ce qu’il vu, lui donna un choc, ravageant son cœur. Sa copie de tenait dans les air a peu pré au milieu de la hauteur de la salle et essayait désespérément de frotter son œil, qui s’illuminait maintenant d’une couleur bleuté. Lumio avait foncé dans l’oeil du clone, détournant ainsi son attention pour laisser le temps a Dide de se relever. Mettant ainsi sa propre vie en danger pour sauver l’elfe. Mais rapidement, et pour échapper à l’écrasement, Lumio fut obligé de lâcher sa position laissant le clone retrouver ses facultés. Et il ne perdit pas de temps avant de riposter. D’un geste rapide il saisit Lumio, emprisonnant l’insecte dans sa main.

« Non » hurla l’elfe encore à terre en tendant la main vers son double. La bourrasque qui percuta le clone, le fit alors lâcher son prisonnier. Cette bourrasque, Dide n’aurai pu dire comment elle était apparu. Quand il se souvint d’un enseignement de son maître.

« La magie et tout particulièrement ceux de l’eau et de l’air, réagissent beaucoup a tes émotions. Apprend à les contrôler, où tu pourrais accidentellement ravager des villes entières, sous le coup d‘une colère, d‘une frayeur, d‘une peine, ou même d‘une joie intense. »

Comprenant enfin ces paroles, Dide décida d’oublier tout le travail de refoulement des sentiments qu’il avait appris au coté de son maître. Il décida de passer en revu tous ce qui pouvait provoquer en lui des sensation forte. Il commença a penser à Helioss, à sa longe chevelure noir, à la profondeur de ses yeux azur, à la pureté de ses lèvres, et au baiser volé d’un soir de folie à l’auberge du rêveur. Ces pensées le rendaient léger, et en un rien de temps il se retrouva à la même hauteur que le clone soulever par une douce mais puissante brise.
Il se retrouva nez à nez avec son double qui était resté immobile face à l’exploit de l’original, qui avec une douceur infini avait réussi a maîtriser les lois de cette pièce. Mais son double se ressaisi vite, il repris en un instant cet air sombre qui le caractérisait. Dide le fixa dans les yeux.

*Cet horreur a failli tuer l’un de mes plus fidèle ami. Une pauvre luciole sans défense. Il n’a aucun respect pour rien. Et dans ses yeux on ne peut voir que ténèbre et désolation. Il ne mérite pas la vie.*

Dide revu le regard qu’avait eu cet ordure juste après avoir capturer son amis. Cette soif de sang ignoble. Comme pour lui dire qu’elle était prête, une puissante rafale entoura Dide. Cheveux au vent, l’elfe continuait de fixer sa copie. Les deux adversaires dégainèrent en même temps mais alors que la copie ne réussit à obtenir qu’une grosse brise, Dide appela une tornade sans le moindre effort. Il l’a dirigea droit sur la copie, qui ne pu l’évité à temps. Une fois emporter par ce tourbillon, des éclair apparurent au centre de la tornade grillant tout ce qui s’y trouvait. S’assurant que Lumia et Lumio étaient hors d’atteinte, Dide continua à se déchaîner sur la copie, dont il ne devait plus rester grand choses. Quand Dide arrêta son sort, il était épuisé. Il resta un moment sur place. Il remarqua alors que aucun des miroir ne reflétait plus son image. Chaque reflet représentant un Didelabedeli . Puis, les miroir se brisèrent d’un seul coup. Voyant tout les éclats de verres fonçant vers lui Dide voulu esquiver en rejoignant ses lucioles sur l‘un des sols, mais sa vitesse diminua au lieu d’accélérer comme à l’accoutumer dans cette pièce hors normes. Dide était attirer vers un portail former avec l’éclat des miroir. Il vit ses deux compagnon emporter eux aussi vers cette étrange vortex. Dide lutta un temps, puis devant la force de se phénomène, il céda. Abandonnant cette pièce il sombra dans l’inconscience.

Dans la petite pièce kaleidoscopique, la lumière se dissipa en même temps que la chaleur.
Deux corps gisaient sur le sol. Les deux elfes de la nuit étaient étalées de tout leur long. Helioss remua et se redressa avec efforts. Son corps était faible, un hématome décorait l'une de ses pommettes. Une impression d'avoir les membres en bouillie. Heureusement qu'elle portait sa combinaison de latex noir, et son manteau de cuir. Si seulement Hélion, son fidèle compagnon, était là. Il aurait pu ne faire que deux bouchées de cette pâle réplique d'elle-même!

L'authentique Hélioss se releva, mais déjà un coup de poing rebondit sur son visage, l'envoyant à nouveau mordre la poussière. Ses sens étaient déjà moins performant, elle n'avait pu percevoir son ennemi avant. Tandis que le double s'approchait, elle lui fit un croche patte, tout bêtement, mais cela marcha. Le clone tomba. L'adversaire lui aussi était fragilisé. Mais la fausse Hélioss, lui assena un coup de pied dans la figure. L'elfe de la nuit encaissa le choc lourdement. Mais elle se ressaisit et se releva. La lèvre ouverte, elle essuya rapidement le sang d'un revers de main. Le corps à corps reprit le dessus, l'énergie magique presque épuisée. Hélioss avait du mal à esquiver toutes les attaques à présent, les blessures ne tournant pas à son avantage. Son corps reçut plusieurs coups violents, mais l'elfe de la nuit était une véritable guerrière dans l'âme, un solide tank, même si elle pouvait avoir un penchant pour le pacifisme. Hélioss réussit à lui envoyer un direct dans le visage. Durant le temps de réaction de l'ennemi, elle se concentra, et créa une vive flamme blanche dans ses mains. Que le ciel lui vint en aide. La puissance des étoiles enveloppa ses mains, et la druidresse-prêtresse envoya un jet de lumière étoilée sur le double. Cette dernière croisa les bras en un petit bouclier, mais elle s'écrasa contre un des miroirs. Immédiatement, elle revint au combat. L'attaque d'Hélioss n'avait pas été assez forte, sa réserve magique presque épuisée. Les coups de poings et de pieds fusèrent à nouveaux en tout sens. Esquive, encaissements. Les deux combattantes acharnées étaient épuisées.

Puis le double lui décocha un incroyale uppercut, accompagnait de magie, qui l'envoya valser jusqu'au plafond. Alors tout se confondit. Au bord de la mort, Hélioss vit le paysage s'inverser. Ses pieds semblaient se poser sur le plafond. Le monde était à l'envers. En haut, le clone l'observait avec cet air déterminé. L'elfe de la nuit recelait de nombreuses entailles, éraflures. Son ennemi décolla du sol et fonça au plafond dans un petit élan. Le double était aussi en mauvais état, mais la force semblait l'habiter encore. Les réflexes ayant presques disparus, Hélioss se fit emporter contre le plafond, d'une violence si inouïe, qu'elle sentit la pierre se briser derrière son dos. Une aute attaque suivit, l'expédiant vers le sol. L'hybride s'écrasa durement sur le sol.

Hélioss émit un léger gémissement de douleur. Mais il fallait se ressaisir. Elle ne pouvait mourir. Le sang couvrait une bonne partie de son corps. De loin elle vit l'ennemi revenir. Non... Hélioss se redressa avec les dernières forces qui lui restaient. Tentant de frapper le double, son coup échoua, et l'adversaire la projeta contre l'un des miroirs, le brisant littéralement en mille morceaux. Hélioss s'effondra, assise.

C'était fini. Puis un objet brillant parmi les débris du miroir attira l'attention de l'elfe de la nuit, tout comme sa réplique. Mais Deimos, se trouvait plus près de Hélioss. La fausse elfe remarqua aussi l'arme. Elle se pencha pour la ramasser. Mais Hélioss saisit un débris de verre du miroir, et d'un coup sec, entailla profondément le bras de son ennemi. Cette dernière recula, très faible. Elles étaient toutes aux couvertes de sang. Lentement, l'équilibrée saisit Deimos. L'adversaire la regarda. La réplique savait qu'elle venait de perdre. Hélioss pointa la lame sur le clone. Activant la magie de l'arme, Deimos fila à grande vitesse se planter dans la poitrine de la fausse elfe de la nuit qui s'écroula.
Hélioss était si faible. Les blessures qu'elle avait accumulé semblaient indénombrables. Son corps ne lui répondait plus. Elle ne sentait plus aucune douleur. Ses sens devinrent flous. Toute force l'avait quitté. Puis son esprit se déroba peu à peu.

L'elfe de la nuit s'évanouit dans de sombres Ténèbres...

Les deux gomettes se faisaient face, dans les yeux de l’une d’elle, on pouvait voir la compassion, la pitié et l’amour. Tant dis que dans les yeux de l’autre ne brûlait que les flammes du mal. Nina savait, oui elle le savait.
*je dois me battre*
. Mais cette idée, rien que cette idée la fessait souffrir, comment se battre ? Pourquoi se battre ? Elle, la pacifiste, elle ne pouvait se résoudre à un tel acte de haine et de violence.
* plutôt mourir que de me battre*
Le clone commença à lever les bras, elle invoquait les grandes puissances de l’eau. Cet élément qui donne la vie, cet élément si louable qui allait servir à faire le mal. La pièce commençait à se remplir progressivement, l’eau englobait tout, elle prenait la forme de ce kaléidoscope. Puis la gomette créa une immense boule avec cette eau, qui petit à petit gelait sur place. Nina connaissait bien cette magie, c’était sa magie, celle qu’elle voulait oublier. L’immense boule fusa vers Nina, juste à temps la gomette esquiva la glace qui vint s’écraser sur le sol à coter d’elle.
Nina ne pouvait pas rester comme ça, à subir. Son clone préparait déjà un autre sort. Nina le savait, le but de cet être était de tuer, de me tuer.
*mes paroles pacifistes ne sont pas utiles en ce lieu, seule la force brute et le mal est roi comme partout. *
Un typhon venait d’être projeté par le clone, mais un phénomène bizarre se produisit. Une fois le typhon arrivé au milieu de la pièce, il se mis à tourner de plus en plus vite, et se dissipas peu à peu.
« J’ai compris, la graviter change au centre de la pièce. C’est pour cela que l’on tient toutes les deux sur nos pieds sans tomber. »S’exclama nina à voix haute.
Elle regarda son clone et pus voir dans ses yeux qu’elle aussi avait compris. D’immense pieux de glace partirent des mains du clone. Nina les esquiva au mieux, mais fus quand même écorcher au niveau de la jambe.
*bynor, mon bynor il est en danger. Je ne dois pas mourir*

Ce sentiment qui venait de traverser l’esprit de la gomette, la réveilla. Ou en tout cas réveilla l’âme belliqueuse qui dormait au fond d’elle.
*Ce lieu est tellement maléfique qu’il réveille ses vieux sentiments*
Pour battre se clone, elle le savait, il fallait frapper là où ça fait mal. Mais le seul point où Nina était faible, c’était dans son esprit, c’était son pacifiste. Voilà son unique faiblesse. Le clone lui continuait d’envoyer des pieux de plus en plus vite, de plus en plus gros. Nina les esquivait tout en réfléchissant. Mais de temps en temps un de ces pieux venait la frapper. Elle sentait ses forces diminuer et par la même occasion ses chances de gagner.
Une idée, voilà ce qui venait de traverser l’esprit de la gomette.
*Mon point faible, c’est ma conviction du pacifiste. C’est mon âme elle-même. La seule chose qui habite l’âme de cet être, c’est la haine. Mon maître m'a aprit ça, ce qui amplifie le plus la magie c’est la colère ou l’amour. Il ne ressent pas ça, lui. Je dois frapper fort ici, tellement fort qu’il ne survirera pas. *
Nina se mis à penser à une vitesse folle, les sentiments qui traversaient son esprit étaient des souvenirs, les souvenirs de sa rencontre avec Bynor, tous ces moments de bonheur intense. Elle commença à tourner sur elle-même, elle devenait eau entièrement eau. Les pieux que le clone continuait à lancer était déviés par cette eau. Par cet immense typhon qui prenait petit à petit naissance au sein de Nina. La gomette lança toute sa rage, tout son amour contre le clone dans une magie si gigantesque qu’elle aurait même effrayé les meilleurs instructeurs. Le typhon vint frapper le clone en pleine face. Celui si retomba sur le sol après avoir été projeté à l’autre bout de la pièce. Mort.
Nina se laissa retomber à bout de force, aperçu une lumière rouge et ferma les yeux.

Les ténèbres... Ils y sont tous, à présent.

Toujours plus profondes...

Ils sont balottés, manipulés, comme s'ils n'étaient finalement que les jouets d'un géant.

La chute est interminable...

Une légère palpitation fait vibrer les arabesques de la pièce. Sur son trône, il sourit...

La chute cesse. La pesanteur reprend ses droits. Ils sont allongés.
Ils sentent quelque chose de solide, de froid, sous leurs doigts, sous leur dos.

Doucement, ils entrouvrent une paupière, apercoivent une lumière diffuse éclairant des murs de pierre. Une lumière orangée, plus rouge que la lueur des flammes.
Le plafond, au dessus d'eux, est composé de ténèbres opaques. Impossible de savoir s'il existe même.

Ils sont allongés dans une pièce circulaire, tel les rayons d'une roue, comme posés en offrande à la silhouette qui se tiens sur l'autel, au centre de la salle. Un autel de pierre d'environ un mètre de haut, sur lequel une créature est assise, vaguement éclairée par la lumière qui semble sourdre du sol.

Elle porte une longue cape noire, ainsi qu'une capuche, ce qui ne laisse aucune parcelle de son corps visible. La corpulence générale est celle d'un homme assez grand, mais la cape semble épouser la forme de son squelette, comme s'il était rachitique.

Dans le mur circulaire de la pièce, cinq ouvertures aussi sombre que le plafond, dispersées à égale distance les unes des autres. Amorces de couloirs qui ont plus l'air de gouffres abyssaux que d'échappatoires. Au sol, un pentacle éclairé de rouge, faisant toute la largeur de la pièce, chaque branche se terminant au pied d'une ouverture. En son centre, l'autel.

Sur leurs corps, aucune trace de combat. Ni vêtement déchiré, ni plaie, comme s'ils venaient de franchir le seuil du gouffre. Aucune trace des combats qu'ils viennent de vivre...

Didelabedeli se réveilla, allongé sur le dos. De chaque coté de ses oreilles, Lumia et Lumio ses deux lucioles. Dide s’assit, apercevant la silhouette étrange au centre du cercle. La luminosité étant suffisante, sentant les épreuves imminentes et voyant ses lucioles encore évanouit. Dide sorti rapidement sa boite doré, et y posa délicatement ses deux amis. Les jugeant plus en sécurité. Puis il observa la silhouette centrale, immobile, elle ne paraissait pas le voir.
Autre chose bougea dans la pièce. Petit a petit, un pas un, divers personnes se relevaient. Dide reconnu les deux elfes l’encadrant, M!ck@l et Helioss. Surpris, Dide regarda les autres avec attention, il étaient tous disposé en cercle, et l’elfe ne pu reconnaître les plus éloigné, mais il devina la présence de certains de ses instructeurs. Après ce qu’il venait de subir, le directeur était rassurer de se savoir entourer par des combattants plus efficaces.
Toujours en surveillant la silhouette centrale, l’elfe se leva, se dirigea vers Helioss. Il lui tendit la main pour l’aider à se relever et lui demanda :

Que fais tu ici ? Comment ça va ? Tu sais où on est ?

Remarquant qu’il posait peut etre trop de question il laissa a Helioss le temps de souffler, si elle avait subi la même épreuve que lui, elle devrait avoir besoin d’un peu de calme

Bynor se releva à son tour... son corps avait à présent perdu sa forme chaotique, et il était redevenu lui même à part entière. Il reconnu au loin les 3 elfes, et fut interpellé par la silhouette en plein milieu.
Il essaya de remettre les choses dans leurs contextes... les divers meurtres... le trou, Dide et Helioss aspirés... lui ensuite... le clone puis... Il n'y arrivait plus, il n'arrivait pas à savoir ce qui s'était passé après.
Il avait mal à la tête... peut être était est normal après le combat qu'il venait de mener... il chercha autour de lui, afin de distinguer la silhouette de sa gnomette adoré. Mais quelque chose attira son attention: les murs ornés de différents signe... qu'il croyait reconnaître, avoir déjà vu.

« Qu'est ce qui se passe ici ? On est où ? Dide ?! »
*Et surtout où est Nina ?!*

Il regarda en direction de l'elfe, en espérant que ce dernier en saurait un peu plus.

Le sol était froid, Nina ouvrit les yeux doucement. Ses paupières étaient lourdes, sont corps engourdi. Elle leva doucement la tête et regarda autour d’elle.
*mais où est mon chéri*
La pièce était sombre, on ne voyait que des silhouettes. L’une d’elle semblait plus petite que les autres.
Difficilement, car le réveil était dur, elle commença à ramper. Plus elle s’approchait des autres, plus elle sentait la présence de son bien-aimé. Elle passa devant le directeur, lui souri. Helioss était à coter encore endormis. Elle se redresse, se met debout. Bynor, il est là juste devant elle. Il est déjà éveillé. Il la regarde. Elle le regarde. Ces quelques minutes de retrouvailles semblent durer plusieurs heures. Le bonheur est intense, elle vient de retrouver son chéri.
Nina sans même réfléchir saute dans les bras de Bynor. Elle se sert contre lui et commence à l’embrasser.
*Quel bonheur de le retrouver*

Didelabedeli surveillait toujours cet étrange personnage au centre de la pièce. Abandonnant Helioss après c’etre assuré qu’elle allait bien. Il tourna son attention vers M!ck@l, maintenant debout qui étudiait cette silhouette à distance. Dide s’approcha de son ancien maître.

Tu cois qu’il dors? Interrogea Dide

M!ck@l se retourna vers son ancien élève, surpris.

Bah oui ! Si il était réveiller il se serait déjà manifesté! Il n’aurait pas laissé cet exhibition de sentiment. Sauf si il est sourd, muet, ou aveugle … ou peut etre les trois. Je suis curieux de savoir !!

Didelabedeli invoqua une brise qui l’emporta vers ce drôle de personnage.

Je sais que la curiosité est un vilain défaut, mais je ne peux pas me retenir

Il était arrivé légèrement dessus de l’inconnu., les deux têtes au même niveau.

Quel tête a-t-il?

Il approcha sa main de l’ouverture de la capuche.

Lorsque le directeur, dans un élan de témérité (ou d'inconscience), approcha la main de l'ombre de la capuche, la créature sembla se réveiller. D'un geste vif, sa main jailli et attrapa le poignet de dide. La main qui émergeait de la cape était d'une blancheur cadavérique, semblait appartenir, pas sa maigreur, à quelqu'un qui n'avait rien avalé depuis des années.

Alors, la capuche se redressa, et se tourna vers dide, sans que personne puisse voir ce qu'elle contenait. Une voix enrouée se fit entendre, sur un ton amusé :

-Ho, je serais vous, je ne ferais pas ça, Directeur.
-Que ..?

Et avant que dide puisse comprendre ce qu'il se passait, la créature exerca une poussée sur le bras de dide, qui, sans le faire voler, le fit néanmois reculer d'un bon mètre.

-Bien.

Tous les regards étaient tournés vers cette chose assise sur l'autel. Celle-ci, l'air non chalant, fit sortir des profondeurs d'une de ses manches une longue pipe qu'il alluma d'une flammèche qu'il fit apparaître au bout de son doigt. Il tira une longue bouffée, puis relacha un impressionant nuage vers le plafond invisible. Ensuite, ne disant toujours rien, il se tourna alternativement vers chacun des membres de l'équipe, s'arrêtant à chaque fois une dizaine de secondes, tout en tirant sur sa pipe, semblant observer, réfléchir.
Puis, la voix de la créature s'éleva de nouveux, brisant le silence religieux qui s'était installé durant son manège.

-Bien, bien. Vous avez donc passé votre première épreuve avec succès. Je vous adresse mes félicitations. Cependant, vous êtes loin d'être au bout de vos peines. Je doute même que vous comprenniez dans quel pétrin vous vous êtes fourrés...

La voix semblait de pas trop savoir quelle émotion elle voulait retranscrire. Parfois, elle semblait très triste, fatiguée. Selon les phrases, elle prenait parfois une intonation amusée, enjouée, laissant echapper un leger ricanement, de-ci de-la.

Hélioss s'était réveillée doucement, comme sortie d'un mauvais cauchemard. Didelabedeli était penché sur elle. Comme par miracle, ses blessures et toutes autres traces de coups avaient disparus. Après s'être relevée à l'aide de l'elfe de sang, Hélioss observa l'étrange pièce irculaire où tous étaient réunis ses camarades.

Au centre se dressait une sorte d'étrange autel, où une silouhette siègait. A l'instant où l'elfe de la nuit observa cette étrange personne, elle eut un frisson. La puissance qui émanait de cette....chose était incomparable. A croire que le directeur ne l'eut pas senti. Ce dernier s'approcha de l'intrus.

Une main aussi blanche que celle d'un cadavre saisit le poignet de Dide. Les sens en alerte, Hélioss se tenait prêtre à tout mouvement suivant, comme celui de dégainer Deimos et Phobos. Elle vit la chose repousser Dide.

La silouhette encapuchonnée déclama avec une voix sans personnalité, semblant sortir droit des plus horribles cauchemards.

Ecoutant ces paroles effrayantes, Hélioss se demanda si ils ne se trouvaient pas devant le Dieu lui-même. Un Dieu Ancien. Qui venait de se réveiller. Maléfique. Et qui voulait un bon spectacle pour annoncer son retour. Avec comme acteurs, l'elfe de la nuit et ses amis.

Le directeur flottait maintenant a distance de cet étrange personnage. Il le vit sortir une pipe, regarder chacun des héros présent puis faire son discours. Mais ce n’est pas ça qui avait troubler Didelabedeli. D’un geste il demanda le silence a l’un de ses compagnons qui voulait prendre la parole.

On se connaît? Demanda Dide

L’homme encapuchonné se retourna vers l’elfe, cherchant a comprendre ce qu’il venait de dire

Bah oui ! Ajouta Dide déjà beaucoup plus hésitant. Tu m’as appeler Directeur …

L'ombre lacha un ricannement.

Bien sûr que je vous connait. Ici, je ne peux qu'observer, et quoi de plus divertissant qu'une école grouillante d'activité ?

Mais vous, vous ne me connaissez pas, non...

Voyant Helioss se tendre comme sous l'effet d'une menace, la créature ajouta :

Mais vous n'avez pas à me craindre, voyons... Cette puissance environnante que vous ressentez certainement ne viens pas de moi. Je ne suis qu'un pauvre hère égaré qui a fait le mauvais choix, il y a longtemps. Mon nom ? Je crains de l'avoir oublié, avec cette solitude.
Mais je sais encore comment ej suis arrivé là.

Il prit un air malicieux, se penchant légèrement vers ses interlocuteurs

Mais vous, savez vous où vous êtes ?

Didelabedeli buvait toutes les paroles de son interlocuteur.

Où sommes nous ! J'en sais rien, mais il ne semble pas avoir jamais vu un endroit pareil. Je ne connais pas encore toutes les propriétés de ce lieu mais ce que je perçoit déjà me donne l'eau a la bouche.

*Et des frissons dans le dos*

Dis moi où nous sommes et quel sont les lois de cette étrange pièce.

La créature écarta les bras, semblant indiquer deu des sorties

Vous êtes, aventuriers, dans une prison. Vous courrez tous ensemble sur les chaînes qui lient une créature maléfique très puissante...

Vous connaissez Malgr, j'imagine. Enfin, pas personellement, mais vous savez qui il est, ainsi que tous ses confrères dieux. Ce qu'il faut savoir sur ces zigotos divins, c'est qu'il sont très caractériels, et Malgr en particulier. Il y aussi beaucoup d'histoire de jalousie, d'enfants cachés, bref, un vrai méli-mélo.

Suite à une aventure dont il à fait disparaître les témoins, Malgr à eu un divin rejeton. Un fils, le portrait craché de son père. Mais encore moins stable émotionellement. Si les dieux toléraient ses petites crises de colères au début, il s'avera vite necessaire de l'empecher de mettre le monde à feu et à sang sur un simple coup de tête, sa puissance augmentant rapidement.

Aussi, les diex, dans leur divine miséricorde, l'enfermèrent ici, dans ces sous-sol. Le château en ruine sur lequel vous avez reconstruit était à l'origine un bastion de gardes, qui devianet empêcher quiconque de s'approcher de trop près. Malheureusement, un groupe de héros un peu trop téméraires massacrèrent les gardes, pensant qu'ils gardaient un énorme trésor. Ils en furent pour leurs frais.

Quand à moi, j'étais il y a très longtemps de cela l'un des serviteurs de Malgr. L'un de ses plus puissants prètres, même. Mais ma soif de connaissance m'a poussé à entreprendre des recherches sur ce mystérieux fils. Or, Malgr n'avait pas envie que cette affaire s'ébruite et m'a enfermé avec lui. Depuis, j'attends dans les ténêbres, avec cette présence maléfique qui plane partout.

Ce qui est très drôle et à la fois effraynt avec ce dieu, 'est que non seulement il possède un tempérament destructeur, mais il adore les illusions. C'est son domaine favori : la manipulation mentale. Vous faire voir des choses qui n'existent pas, vous rendre fou...
Vous avez eu un aperçu de ses jeux lors de votre premier combat.

L'elfe qui était silencieux depuis que Dide l'avait rejoin pour le questionner, pris la parole tout en continuant à fixer l'etrange personnage:

Hum, il me semble évident que nous ne savons pas tout de l'endroit où nous sommes... Bien évidemment, nous avions connaissance de l'existence d'un tel lieu, mais nous ne savions pas à quel point cet endroit était néfaste...
Vous venez de parler d'un choix que vous avez dût faire...Je serais curieux d'en savoir plus.

Hélioss écouta attentivement l'étrange personnage. Un ancien serviteur de Malgr.

- Hé bien, si on déménageait le château? On vous laisse tranquille avec le fils de votre ancien maître, proposa l'elfe de la nuit, avec une voix douce mais froide. Justement auriez-vous l'amabilité de nous dire où se trouve la sortie?

La créature ricanna.

A votre guise, madame.

Et, levant le bras, il indiqua l'un des couloirs.

Dide regarda la porte, puis l'inconnu

Si vous savez où est la sorti pourquoi vous ne nous accompagnez pas ! Il me semble que vous n'etes pas ravi d'etre ici.